Bibliothèque de la Fondation

La bibliothèque de la Fondation de la Résistance est fermée pour une durée indéterminée. Nous sommes désolés des inconvénients que cette fermeture peut vous occasionner et nous mettons tout en œuvre pour assurer sa réouverture aux chercheurs et au grand public.

Composition du fonds et accès aux catalogues

La bibliothèque de la Fondation comporte actuellement plus de 3200 ouvrages couvrant une période allant de 1933 à 1945, des périodiques parus sous l’occupation et après guerre (notamment des bulletins des associations d’anciens résistants et déportés), ainsi que des cartes.

Public scolaire : la bibliothèque propose aux enseignants et aux élèves des dossiers thématiques, des fiches méthodologiques, des questionnaires, ainsi que quelques ouvrages ou numéros de revues pédagogiques.

Ouvrages

Le fonds se compose essentiellement de monographies :

  • ouvrages de synthèse (chronologies, annuaires, colloques…)
  • témoignages et récits
  • biographies de résistant(e)s
  • études des résistances locales
  • études des organisations de résistance (réseaux, mouvements…)
  • littérature grise (livres édités à compte d’auteur, travaux universitaires)

Périodiques

Cartes

Publications électroniques

Colloque « l’esprit de la résistance dans les territoires occupés en france en 1870-1871 puis dans le nord de la france de 1914 à 1918 et 1940-1944 »

Mercredi 19 novembre 2014  dans les salons de la Mairie du 3e arrondissement de Paris  Un point commun relie 1870, 1914, et 1939 : trois fois en l’espace de la vie d’un homme, la France est envahie par les Allemands. Si bien qu’avant 1914 la première mémoire de la Résistance est celle de 1870-1871 », puis il y aura dans les territoires occupés du Nord et en Belgique celle de la Grande guerre et enfin vingt ans plus tard celle de la Seconde Guerre mondiale. C’est à partir de la question de la mémoire et de l’héritage de la Résistance d’une guerre à l’autre, chez les occupés mais aussi les occupants que l’on se propose d’analyser les formes de résistance qui se sont développées sous trois occupations. Lors de ce colloque organisé par Mémoire et Espoirs de la Résistance et  présidé par Gilles Perrault auteur du Dictionnaire amoureux de la Résistance (éditions Plon) sont intervenus successivement : Armel Dirou, colonel d’active de l’armée française et auteur d’un livre sur La Guérilla en 1870 (éd. Bernard Giovanangeli) évoque le rôle des francs-tireurs pendant la guerre de 1870-1871. Comment sont-ils nés et quels furent leurs rapports avec le pouvoir central en particulier celui de Gambetta ? Et enfin quelle fut les réponses allemandes ? Philippe Nivet, professeur à l’Université de Picardie, historien et auteur de De la France occupée 1914-1918 (éd. Armand Collin) détaille les formes prises par la résistance dans les dix départements français occupés par les Allemands au cours de 1914-18.  Quelles formes de résistance ont-ils rencontré ? Résistance civique, religieuse, armée ? Il dresse le portrait de quelques figures de rebelles comme  Louise de Bettignies  mais aussi Jean-Baptiste Lebas qui 20 ans plus tard fera partie des premiers résistants de juin 1940. Emmanuel Debruyne, docteur en histoire,résident à l’Institut d’Etudes avancées de Paris et chargé de cours histoire à l’Université catholique de Louvain, retrace l’histoire de la Résistance en Belgique au cours de la Grande Guerre : la naissance des filières d’évasions et de renseignements vers la France et la Grande-Bretagne, la presse clandestine de près de 80 titres. Laurent Thiery,  docteur en Histoire et historien de La Coupole, Centre d’Histoire et de Mémoire du Nord – Pas-de-Calais dresse un tableau de l’occupation allemande des départements du Nord de la France pendant les deux conflits et les spécificités de cette occupation et aussi de la Résistance dans cette région deux fois occupée. Thierry Vivier professeur d’histoire-géographie au ...

Les réseaux action de la France combattante

Amicale des Réseaux Action de la France Combattante 1986 (édition papier) et 2008 (pour la présente édition électronique) Edité par l’Amicale des Réseaux Action de la France Combattante en 1986, ce livre est réédité sous forme électronique par la Fondation avec l’accord des membres de l’Amicale aujourd’hui dissoute. Par fidélité au texte d’origine, l’ouvrage est reproduit avec les photographies de l’édition de 1986 – d’où le poids important des fichiers PDF.

La répression en France à l’été 1944. Actes du colloque du 8 juin 2005.

organisateurs: Fondation de la Résistance – Ville de Saint-Amand-Montrond édité en juin 2007 par la Fondation de la Résistance LE COLLOQUE PEUT ETRE TELECHARGE EN ENTIER OU PAR COMMUNICATIONS. ATTENTION : LA CARTE EN ANNEXE A LA COMMUNICATION DE JEAN QUELLIEN N’EST PAS INCLUSE DANS LE COLLOQUE INTEGRAL ET DOIT DONC ETRE TELECHARGEE SEPAREMENT. SOMMAIRE – Avertissement PREMIERE PARTIE : LOGIQUES GENERALES DE LA REPRESSION Présidence: Serge Vinçon, sénateur-maire de Saint-Amand-Montrond –  » Wehrmacht, Waffen SS et Sipo/SD: la répression allemande en France 1943-1944  » par Peter Lieb, senior lecturer, department of War Studies, Royal Military Academy, Sandhurst –  » 1944 : les logiques de répression de Vichy  » par Pierre Laborie, directeur d’études à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales DEUXIEME PARTIE : LA REPRESSION DANS LE CHER A L’ETE 1944 Présidence : Alain Rafesthain, président du Conseil Général du Cher –  » Les Allemands  » par Benoît Thiault, historien du musée de la Résistance et de la Déportation de Bourges –  » La tragédie des puits de Guerry (été 1944) : étapes, rouages et mobiles d’une répression raciale  » par Jean-Yves Ribault, ancien directeur des Archives Départementales du Cher TROISIEME PARTIE : VARIABLES REGIONALES Présidence: Victor Convert, directeur général de la Fondation de la Résistance –  » La répression nazie en Basse-Normandie après le Débarquement  » par Jean Quellien, professeur à l’ Université de Caen, Centre de Recherche d’Histoire Quantitative –  » Histoire et mémoire d’un massacre : Maillé, Indre-et-Loire  » par Sébastien Chevereau, responsable de la Maison du Souvenir de Maillé, et Luc Forlivesi, directeur des Archives Départementales d’Indre-et-Loire