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Publications et éditions

La Lettre de la Fondation de la Résistance

Cette publication trimestrielle rend compte des activités de la Fondation, de ses associations affiliées (MER et l'AERI) et des initiatives d'autres organismes en faveur de la mémoire et de l'histoire de la Résistance. Sa rubrique " Mémoires et Réflexions " comporte des articles de fond, des comptes rendus de colloques universitaires, des témoignages, souvent regroupés en dossiers thématiques. Une rubrique bibliographique présente des comptes rendus de lecture et les derniers ouvrages reçus au centre de documentation Occasionnellement, des analyses d'image sont proposées dans la rubrique " Autour d'une Photographie ". Un numéro entier est consacré au Concours national de la Résistance et de la Déportation, sous la forme d'une brochure pédagogique, lorsque le thème annuel du CNRD porte sur la Résistance.

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Les réseaux Action de la France Combattante

Amicale des Réseaux Action de la France Combattante
1986 (édition papier) et 2008 (pour la présente édition électronique)
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  • 13 fichiers PDF contiennent l'expression recherchée :
    • p1à9=sommaire+intro
      (...)s, premiers hommes, premières missions de renseignements................................................12 Création de la Section Action/Mission du BCRA 1940-1941....................................................................17 Premières missions Action, mission Savanna, mission Joséphine B....(...)
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      (...)arachutiste ..........................................................................................................58 La Section Action/Mission du BCRA croissance et disparition 1942-1943 ..............................................64 Départ en mission..............................................(...)
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      (...)avec Rosette Pierre HENNEGUIER Le sabotage des usines Bronzavia Médaillé de la Résistance avec Rosette Raymond LAGIER La Section Action/Mission du BCRA Médaillé de la Résistance Paul LEISTENSCHNEIDER Départ en mission Compagnon de la Libération Jacques MAILLET Le Jouet des Flots Compagnon de la (...)
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    • p10à29=les débuts(BCRA,1ères missions, SOE)
      (...)10 Comment naquit l'Action Premiers jours, premiers hommes, premières missions de renseignements Création de la Section Action/Mission du BCRA 1940-1941 Premières missions Action, mission Savanna, mission Joséphine B Le temps de l'action est venu Le Special Operations Executive Quelques si(...)
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      (...)tion chargée du renseignement, une section chargée de l'action dont seront issus nos réseaux. Passy fut le fondateur, le chef et surtout l'âme du BCRA. Son patriotisme, ses capacités intellectuelles, sa puissance de travail, lui permirent de créer un instrument de guerre d'autant plus efficace qu'(...)
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      (...) contreespionnage se renforçaient et que la Gestapo mettait ses premiers hommes en place. 14 Mais aussi ces premières missions convainquirent le BCRA de l'urgence qu'il y avait à munir les agents de moyens de transmission, c'est-à-dire de postes émetteurs de radio, car il était vain de chercher(...)
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      (...)aissant. D'Estienne d'Orves et Dornick ont été faits Compagnons de la Libération à titre posthume. Comme cela avait été reconnu nécessaire, le BCRA s'employa à fournir des postes émetteurs à ces premiers chefs de mission, mais cela ne se fit qu'au prix de difficultés et de problèmes nombreux(...)
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      (...)étais à cent lieues d'imaginer que quelques jours plus tard je ferais partie de la petite équipe qui allait créer de toutes pièces le SR puis le BCRA des Forces Françaises Libres. Mais, à cette époque quelques centaines seulement de volontaires s'engagèrent au côté du Général de Gaulle pour(...)
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      (...)sonnels subalternes restera toujours une très sérieuse gêne pour nos services. Il fallut bien s'y habituer et tous ceux et celles qui servirent au BCRA travaillèrent comme des « dingues ». En liaison avec le capitaine Piquet-Wicks j'avais à résoudre les nombreux problèmes posés par la prépara(...)
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      (...)age et il faudra attendre le mois de mars 1942 pour recevoir des nouvelles directes de Rex. La suite de ce bref historique de la « Section A/M » du BCRA sera traitée dans un chapitre suivant. Raymond LAGIER (Capitaine Bienvenüe) Médaillé de la Résistance 22 Premières missions Action Au cours (...)
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      (...)nt être moins que « Caporaux ». 28 Quelques sigles AFHQ ................ African Forces Headquarters AS ...................... Armée Secrète BCRAM............. Bureau Central de Renseignement et d'Action Militaire BOA................... Bureau d'Opérations Aériennes CFLN................. Comi(...)
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    • p30à56=Jean Moulin
      (...) une aide d'une efficacité inespérée. 33 34 Vol vers la France Novembre 1941, mes stages étant terminés dans différentes STS anglaises, le BCRA me désigne pour effectuer en France une mission radio. Mis en contact avec Fassin, « Sif », je reçois le pseudo de « Sif W » et nous gagnons en(...)
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      (...)ponsabilité directe de toutes les opérations de parachutages et atterrissages dans sa zone d'action. Cette responsabilité s'exercera vis-à-vis du BCRA et de la RAF pour ce qui est de la technique de ces opérations, et vis-à-vis de Rex pour ce qui est des projets des opérations et de leur destinat(...)
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      (...)enviolet, Frit W. En Corse, c'est Fred Scamaroni qui, sous le pseudo de « Pot », avec son opérateur radio « Pot W », assurera la liaison avec le BCRA et apportera son appui aux groupes de résistance qui 38 se sont développés dans l'île. Arrêté et torturé par les services italiens de répr(...)
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      (...)s les Forces Françaises Libres, en juillet 1940, j'ai été parachuté aux environs de Montluçon le 26 juillet 1942. J'avais été désigné par le BCRA pour être le radio et le secrétaire de Georges Bidault, directeur du BIP (Bureau d'Information et de Propagande). A Lyon, le 1er août 1942, Paul S(...)
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    • p57à73= développement de la section Action du BCRA
      (...)Les Réseaux Action de la France Combattante Comment on rejoignait les Réseaux Action La Section Action/Mission du BCRA 1942-1943 Départ en mission 1, Dorset Square 57 Comment on rejoignait les Réseaux Action en Angleterre Dans la presque totalité des cas, le vol(...)
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      (...)omplémentaires, justifiait en quelque sorte son volontariat aux missions spéciales, et un climat de confiance s'établissait de part et d'autre. Le BCRA brossait de son côté un tableau réaliste des épreuves qui attendaient le volontaire, le mettait au courant de l'isolement auquel il allait être (...)
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      (...)assin contenant de l'acide (du moins il fallait tacitement l'admettre), et tellement d'autres... Sur proposition des instructeurs « analystes », le BCRA, en faisant intervenir d'autres critères, orientait alors vers des stages de formation spécialisée les quelques rescapés de ce crible aux mailles(...)
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      (...)on. Tout était donc fin prêt et le dîner d'au revoir nous réunissait au centre de Beaulieu avec quelques instructeurs et l'officier de liaison du BCRA. Dernières consignes, énième vérification de ce que contenaient les poches du partant, et le tout petit instant plus ou moins solennel, ressenti (...)
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      (...)n/Mission Croissance et disparition -- 1942-1943 En janvier 1942 le SR se transforma en « Bureau Central de Renseignements et d'Action Militaire », BCRAM. A ses trois principales sections -- » R » (capitaine Manuel), « A » (capitaine Bienvenüe), « CE » (Lieutenant Wybot, récemment arrivé de F(...)
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      (...)tion de « section Action/Mission » (A/M), correspondant en fait au travail qu'elle effectuait depuis sa création. En octobre de la même année le BCRAM devint plus simplement le « Bureau Central de Renseignements et d'Action » (BCRA) en accueillant dans son sein une « section Non Militaire » (NM(...)
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      (...)llon, assisté du capitaine Bingen ; elle devait mettre en oeuvre les directives politiques du Commissariat National à l'Intérieur. Bien entendu le BCRA restait placé sous le commandement du lieutenant-colonel Passy, assisté de deux adjoints, le commandant Manuel et le commandant Pierre Brossolette,(...)
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      (...)natorium militaire dans l'île de Wight, à la stricte discipline, et obligé d'y rester jusqu'à la fin de l'année 1943. Coupé de mes camarades du BCRA pendant six mois, je découvris à mon retour à Londres la fusion effectuée, non sans peine, entre nos services et ceux des « professionnels » rÃ(...)
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      (...)SS (Direction Générale des Services Spéciaux) ayant à sa tête Jacques Soustelle, assisté du colonel Passy, et deux organes d'exécution : le « BCRA, Londres » avec le lieutenant-colonel Manuel, et le « BCRA, Alger » avec André Pelabon, ingénieur en chef du Génie Maritime, qui nous avait rej(...)
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      (...)Capitaine Bienvenüe) Médaillé de la Résistance Nota : Je dois préciser au lecteur que je n'ai pu écrire ce bref historique de la section A/M du BCRA qu'en me reportant aux documents d'archives rassemblés depuis huit ans par Daniel Cordier pour son livre « Jean Moulin, l'inconnu du Panthéon » q(...)
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      (...) de voir mûrir leur vocation, et dans leur esprit l'intendance occupait une place secondaire. Par contre, des amitiés solides s'étaient nouées au BCRA entre hommes ayant également rompu toutes autres attaches ; les adieux se confondirent souvent avec des conversations sur la mission. Si la journée(...)
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      (...)Angleterre. Car d'abord cela avait été la détente après la prison espagnole. Puis l'imprévu, des amitiés nouvelles liées avec des Français du BCRA et avec quelques Anglais. Ce fut une période plus favorable à la distraction qu'au recueillement. Enfin les stages anglais tellement différents de(...)
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    • p74à104= la délégation générale, les délégués militaires
      (...) correspond la création à Londres, par le Général de Gaulle, dès 1940, du Bureau Central de Renseignement et d'Action, plus connu sous le nom de BCRA. Dirigé par le colonel Passy et le commandant Manuel, ses moyens sont infimes. Toute sa logistique, tous les moyens matériels de transport et de tr(...)
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      (...)ansmission sont, bien entendu, fournis par nos alliés britanniques, mais le BCRA réussit, cependant, à être le trait d'union entre CFLN et Résistance intérieure. 75 Dès 1940, les premiers agents sont parachutés en France(...)
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      (...) humaines et d'éviter bien des dégâts inutiles. Les ordres de mission remis aux DMR ont été discutés et établis à Londres par les services du BCRA et les chefs de la Résistance alors en Angleterre, Frenay, d'Astier de la Vigerie et Médérie. Les DMR sont définis comme des « Ambassadeurs » e(...)
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      (...)ur était fortement conseillé en cas d'arrestation. Leur chef même, le colonel Marchal, usa de cette capsule quelques jours après son arrivée. Le BCRA leur avait fourni des informations sur la situation et l'organisation de la Résistance dans la région où ils allaient opérer. Ils avaient été p(...)
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      (...)résentés à quelques résistants, alors de passage à Londres. De plus, les bureaux compétents du BCRA avaient insisté verbalement auprès d'eux sur leur dépendance hiérarchique directe vis-à-vis de Londres. Leur ordre de mission précisait que l'o(...)
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      (...)trictement financières semble-t-il, aux demandes de fusils, de fusils-mitrailleurs et d'armes lourdes. De leur côté, les échelons d'exécution du BCRA sont naturellement tentés de multiplier les contacts directs avec les chefs de mission, les services d'opérations, les saboteurs, les responsables (...)
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      (...)s spontanément des fonctions dans la Résistance et dans les maquis. Elle dispose de liaisons directes et d'une représentation autonome auprès des BCRA de Londres et d'Alger, ce qui lui permettra d'être, après le 6 juin 1944, et contre l'avis des Délégués Militaires, à l'origine d'opérations s(...)
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      (...)r remplir avec efficacité le rôle correspondant à toutes ces missions si diverses, il fallait beaucoup plus être admis par tous que nommé par le BCRA. C'est ce qu'ont compris Ely Algèbre ainsi que Parodi Quartus, Délégué général, et avant tous Bingen Necker, qui assura une présence permanent(...)
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      (...)et départemental, un commandement assumant la cohésion de l'action. Ensuite, la mission « d'ambassadeur et conseiller technique » confiée par le BCRA aux Délégués de Région a été également bien remplie, puisque les FFI ont assuré l'exécution efficace des Plans mis au point par l'Etat-Major(...)
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    • p105à117= les opérations maritimes
      (...)pérations de débarquement ou rembarquement par voie maritime. Le premier débarquement par voie maritime concernant des agents du service Action du BCRA a eu lieu, dans la mi-octobre 1941. Il s'agissait de la mission Overcloud, composée du sous-lieutenant Joël Le Tac (Joe), et du radio Alain de Kerg(...)
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      (...) Rennes, centre naturel de ses activités « Action », chargé de plusieurs missions de sabotage, soigneusement préparées avec la bénédiction du BCRA, aussi bien avec l'Amirauté britannique, qu'avec le « Bomber Command » de la RAF. 111 Le voyage de retour ne posa aucun problème. Par un clair(...)
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      (...) de novembre, décembre et janvier s'écoulèrent sans qu'aucun des quatre pût être transporté à Londres par voie aérienne. Devant l'urgence, le BCRA leur donne l'ordre de se joindre à une opération maritime destinée à transporter en Angleterre des aviateurs alliés abattus et regroupés par le(...)
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      (...)diterranéen français. Début 1944, Rayon Archiduc, officier régional d'opérations de R2 réceptionnait deux adjoints parachutés en provenance du BCRA d'Alger. L'un devait s'occuper des opérations maritimes envisagées à l'ouest de Marseille mais il fut rapidement arrêté par la Gestapo. L'autre (...)
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    • p118à146= les opérations aériennes (structures = SOAM, COPA, SAP; avions, appareils radio, containers)
      (...)eau des Opérations Aériennes. Il faut aussi signaler, pour ce qui est de cette zone Nord et Ouest la mission Mab et le réseau Sol. En fin 1942, le BCRA avait acheminé en Bretagne dans la région de Pontivy-Ploermel, une mission dirigée par Mab (Cholet) avec son radio Mab W (Papin) pour organiser de(...)
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      (...)rations au moment où la Résistance a, pour ses actions qui se précisent, des besoins de plus en plus importants en armes et en explosifs. Aussi le BCRA décide-t-il en août 1943 de décentraliser davantage l'organisation, pour limiter les dégâts occasionnés par la police allemande, et de doter, d(...)
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      (...)stitué en zone Nord, en avril 1943, Rex agit de même et nomma Pal, son envoyé, chef national pour le Nord. Après l'arrestation de Jean Moulin, le BCRA reconsidéra la question en avril 1943, dans le cadre de la décentralisation, et les chefs nationaux devinrent bientôt des coordinateurs, qui devai(...)
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      (...)ent conseiller, informer et dépanner les autres officiers régionaux. En fin d'année 1943, le Bureau des Opérations du BCRA ne se montrait guère partisan de cette prééminence quand elle n'était pas contredite formellement. Mais finalement, elle fut, plus ou moins, main(...)
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      (...)bat. Puis, lorsque, à partir de septembre 1943, les DMR (Délégués Militaires Régionaux) furent progressivement mis en place, les instructions du BCRA précisèrent que « l'officier régional d'opérations travaille en étroite liaison avec l'officier délégué militaire de région et lui est hié(...)
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      (...)n secrétariat s'occupe du codage et du décodage des câbles, de la mise à jour du fichier des terrains, de la frappe des rapports mensuels pour le BCRA ou des notes et instructions destinées aux divers agents, de la tenue des archives, certes réduites au minimum mais indispensables, etc. Il est ins(...)
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      (...)e des aviateurs alliés descendus, etc. En outre, si son rôle ne consiste pas en la recherche du renseignement, il ne manquera pas de communiquer au BCRA toute information valable qui arrive à sa connaissance. Plusieurs dizaines d'agents donnent leur activité à plein temps au réseau et doivent donc(...)
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      (...)'ailleurs de souscrire un engagement dans les FFC. Une fois rédigé, l'acte est déchiré en deux : une partie est envoyée par prochain courrier au BCRA, l'autre leur est remise avec consigne de la camoufler dans une cachette à toute épreuve. Le pseudo administratif qui leur est attribué, appelé a(...)
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      (...)ntifier. Or chaque officier d'opérations avait un code personnel pour les messages de la BBC. Par exemple, « d'Albert à Tommy ». Albert était le BCRA et Tommy l'officier en mission. C'était cette phrase conventionnelle qui servait pour les communications SPhone, « Albert » devenant l'avion de la(...)
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      (...)« Opération terminée ». La deuxième utilisation du S-Phone consistait à permettre une conversation « téléphonique » entre un responsable du BCRA qui avait pris place dans un avion et l'officier d'opérations, lorsqu'un sujet important la nécessitait. Rendez-vous avait été pris à l'avance, (...)
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    • p147à183=les opérations aériennes (technique, exemples, statistiques)
      (...)ntal tous les renseignements sur un nouveau terrain. Il en demande l'homologation à la RAF. Pour ce faire, il rédige un câble qui sera transmis au BCRA à Londres et qui se présente ainsi : 149 -- POUR HOMOLOGATION TOP -- PRIMO QUATRE CINQ HOMO TOP -- SECUNDO SEPT CINQ TOP -- TERTIO QUATRE TROIS (...)
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      (...)N AVION TOP NUIT DU UN JUIN ECHEC MANDARINE BRUIT AVION AU LOIN TOP Dans son rapport écrit mensuel, il donnera plus d'explications. De son côté le BCRA lui câble un compte rendu contradictoire : RESULTATS OPS LUNE JUIN TOP SUCCES TOP NUIT DU DEUX HUIT LION DEUX AVIONS TOP NUIT DU DEUX NEUF TIGRE TOP(...)
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      (...)ration d'atterrissage Nous sommes, disons, le 1er juin en période interlune encore pour quelques jours. L'officier régional d'opérations câble au BCRA qu'en plus de l'ancien ministre qui se met à la disposition du Général de Gaulle et du chef de mouvement de résistance qui, après accord déjà (...)
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      (...)américain rescapé a été retrouvé et attend la possibilité de regagner sa base en Grande-Bretagne, soit un total de six personnes. Le 4 juin, le BCRA répond qu'il a lui-même cinq personnes à infiltrer en France et que la RAF est d'accord pour tenter une opération « Hudson » sur le terrain « (...)
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      (...) à la maison de campagne où la mère du commerçant viendra pour les recevoir. Le chef du mouvement de résistance, l'ancien ministre et l'agent du BCRA, retour de mission, arriveront par le train dans l'après-midi du 12, accompagnés par André, agent de liaison. Mais ils voyageront dispersés dans (...)
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    • p184à204=saboteurs et sabotages
      (...)nos ports, incendier les dépôts de carburants, faire sauter les dépôts de munitions... Elémentaire... En liaison avec l'Etat-Major Allié, notre BCRA étudiait et décidait l'exécution de certaines opérations qui répondaient à diverses exigences. Il pouvait s'agir notamment : -- de prendre en c(...)
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      (...) apte, satisfaire à un certain nombre d'épreuves tant sur le plan intellectuel que sur le plan physique. Et une fois le volontariat accepté par le BCRA, nous passions entre les mains, oh ! combien expertes, d'instructeurs anglais qui, lorsqu'ils décelaient chez l'un d'entre nous des dispositions par(...)
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      (...)ticulières, suggéraient alors au dit BCRA le genre de mission à lui confier. Il appartenait ensuite au chef du Service Opérations de Duke Street de nous diriger vers des écoles spécialisÃ(...)
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      (...)e16. Les tests n'avaient pas à l'époque, pour le choix des hommes, l'importance qu'à juste titre on leur accorde aujourd'hui. Il n'empêche que le BCRA recevait des instructeurs et en tenaient compte, des suggestions pour une affectation optimale du candidat. Il appartenait en dernier ressort au Patr(...)
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    • p205à224=quelques grands sabotages des réseaux Action
      (...)oqué des pertes immenses dans la population. C'est pourquoi, chaque fois que cela s'avérait possible, l'Etat-Major Interallié demandait d'abord au BCRA de procéder par ses propres moyens à la destruction de tel ou tel objectif, avant d'envisager un bombardement aérien. Pour agir en conséquence, l(...)
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      (...)e BCRA avait deux formules : -- envoi d'un ou plusieurs saboteurs devant réintégrer Londres, une fois la mission accomplie. -- exécution de l'opération (...)
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    • p225à247=les transmissions radio
      (...)préciser, pour éviter toute confusion ou erreur d'interprétation, que les réseaux de renseignements militaires étaient directement rattachés au BCRA ou à SOE, et que les réseaux Action, dès que cela leur fut possible, eurent leurs propres liaisons radio totalement séparées de celles des rése(...)
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      (...)tive de la Nation. C'est seulement au mois de mars 1941 qu'une nouvelle liaison radioélectrique fut ouverte entre un emplacement voisin de Pau et le BCRA, grâce à un opérateur parachuté d'Angleterre et à un émetteur transité par l'Espagne. Elle fut suivie d'une autre peu de jours après, laquell(...)
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      (...)nseillé par le commandant Julitte qui était à l'époque le meilleur spécialiste qu'on puisse trouver. Encore faut-il observer que les réseaux du BCRA n'ont pas été associés aux manoeuvres d'intoxication de l'ennemi auxquelles se sont livrés les Anglais, grâce à quoi ils ont échappé à des j(...)
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      (...)ue et il fut éconduit. Heureusement le problème fut repris à Paris en mars 1943, à l'occasion d'une mission qu'effectua le colonel Passy, chef du BCRA. Il fut convenu qu'Electre enverrait à Londres un ingénieur très compétent pour y généraliser ses méthodes avec le concours, non plus de l'Int(...)
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      (...)vril 1943, cet ingénieur réussit à convaincre le SOE de la justesse de ses vues et à se faire confier personnellement, tant par le SOE que par le BCRA, la mission de réorganiser de fond en comble les transmissions de l'Action. Cet homme s'appelait Jean Fleury et était alors connu sous les pseudos (...)
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      (...)re de 50 il était motivé par le souci d'harmoniser la structure des transmissions à celle du commandement, laquelle venait d'être changée par le BCRA avec l'institution d'un Délégué Militaire et d'un officier des opérations aériennes par région en plus des organes nationaux et par zones. Malh(...)
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      (...)ction. Conscient de cette nécessité, le fondateur d'Electre se rendit de nouveau à Londres et prit le commandement de la Section Renseignements du BCRA, grâce à quoi il put enfin imposer la création de Centres d'Antennes en tous points comparables aux Centres de Transmissions de l'Action, la diffÃ(...)
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      (...)es anglaises, mise en fabrication et parachutages de nombreux émetteurs miniaturisés, choix plus judicieux des fréquences en collaboration avec le BCRA, et enfin formation accélérée d'opérateurs radio destinés à être envoyés en France. Mais nous reprendrons cette question du recrutement des o(...)
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      (...)ançaise installé à Alger pût communiquer directement avec la population française par le biais des réseaux de renseignements et d'action que le BCRA de Londres avait créés. En second lieu, il devenait évident qu'un débarquement des troupes alliées se produirait un jour dans le Sud de la Franc(...)
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      (...)e et qu'il faudrait à ce moment-là coordonner l'action de la résistance locale avec celle des troupes débarquées. A cet effet, le BCRA de Londres avait fondé un second bureau à Alger, étant entendu que les deux bureaux, celui de Londres et celui d'Alger, seraient soumis à la mêm(...)
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      (...)tion en échangeant tous les soirs la totalité des trafics radio qu'ils auraient traités avec la Résistance française au cours de la journée. Le BCRA d'Alger entreprit donc de construire une Centrale radio et de se doter d'un atelier du chiffre en vue de correspondre par voie radiotélégraphique c(...)
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      (...)étaient responsables de son organisation d'apporter la preuve du grand succès qui l'avait couronnée. Nos recherches ont porté sur les archives du BCRA de Londres et sur celles d'Alger. Nous n'avons pas pu accéder aux archives conservées par les services qui ont succédé au BCRA et qui ont porté (...)
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      (...)traordinaires. Les statistiques que nous avons dépouillées donnent le nombre de télégrammes reçus de France chaque jour par la section Action du BCRA de Londres, laquelle section est devenue le 5ème Bureau de l'Etat-Major des Forces Françaises de l'Intérieur commandé par le général Koenig dè(...)
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    • p248à257=hommes et femmes de la radio clandestine
      (...)e juillet 1943 et le mois de juillet 1944, c'est-à-dire à partir du moment où la nouvelle organisation instituée par les nouveaux plans reçus du BCRA, en juillet 1943, a été mise en oeuvre. Mais l'effet bénéfique de ces plans, bien qu'il fût escompté par leurs auteurs, n'avait pas été véri(...)
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      (...)l'éloge funèbre qui fut fait de Tibor Revesz-Long, le dernier Inspecteur national des transmissions de l'Action et de Jean Roy, qui mit sur pied au BCRA l'organisation de ces transmissions. 254 Il en fut question encore au cours de la cérémonie de remise de la Croix de la Légion d'Honneur à l'u(...)
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      (...)emble pour l'Action le plan ambitieux exposé paragraphe 6. De retour à Londres en septembre 1943, Jean Fleury fut nommé Chef des Renseignements du BCRA et il s'employa alors à créer, pour les Renseignements, des centres de transmissions clandestines sur le même modèle que ceux des Réseaux Action(...)
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    • p258à284=l'Etat-Major des FFI et l'appui aux débarquements
      (...)d'urgence, avant le débarquement : -- d'une part, de coordonner les activités jusque-là menées séparément par les Services Spéciaux français (BCRA), britanniques (SOE) et américains (OSS). -- d'autre part, de coordonner, le moment venu, l'action de la Résistance intérieure avec les Forces All(...)
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      (...)e Grec et Latin, d'abord des réseaux de renseignement et ensuite des réseaux d'action, était venu à Londres commander la section Renseignement du BCRA. Il était assisté du colonel britannique Barry. Sous leurs ordres, la zone Nord était confiée au commandant Gallimand et au commandant Mouchon, e(...)
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      (...) quelques câbles reproduits ci-dessous et extraits de tous ceux, très nombreux, qui furent échangés entre le Special Project Operation Center, le BCRA, et les Délégués Militaires des régions incluses dans la zone SPOC sous commandement du général Cochet à Alger, permettront au lecteur de se f(...)
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      (...)être par vos soins top Instructions ultérieures suivront top vous demande donner avis sur télégramme de Schooner numéros 25 26 27 Fin. Sultan à BCRA : Ai reçu plusieurs câbles d'Alger et du général Cochet par radio Schooner top Ai répondu directement top Mon 18 du 16 huit top D'après renseig(...)
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      (...) convoi du un août serait de la division Adolf Hitler top Toutes deux en marche d'Albi à Ganges top Moral boche très mauvais Fin Sultan. Sultan à BCRA : Pour Alger top Convoi allemand environ un cinq zéro camions avec canons antichars et mortiers venant d'Albi via Lacaune est passé à Murat à un (...)
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      (...)aquis Montagne Noire replié dans Hérault top Vous demande intervention aérienne top Vous resignale épuisement nos munitions Fin Sultan. Sultan à BCRA : Après quatre jours combats région Saint-Pons Herault top Nos éléments complètement démunis munitions fusils mitrailleurs français et mitrail(...)
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      (...)ardé ce convoi de deux deux heures entrée Saint-Pons top Ai demandé renforts à Tarn et Aveyron car d'autres convois suivent Fin Sultan. Sultan à BCRA : Beziers libéré par éléments locaux FFI le deux deux top Allemands ont momentanément interrompu convois littoral top Empruntent route nord Carc(...)
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      (...)ait à la disposition de la cause alliée. 284 ADDENDA ET ERRATA L'appui aux débarquements A la page 272, dans le troisième câble, « Sultan à BCRA », il faut lire « ... un élément de la un un Panzer division... », autrement dit de la 11ème Panzer, et non « de la un Panzer », ce qui signi(...)
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