Durant tout l’été , les musées de la Résistance et de la Déportation proposent des expositions temporaires.Autant d’occasion de visite , individuelleou en famille , et de découverte dans les différentes régions de France .
Pariset Ile-de-France :
« Jeunes en résistance »
Musée de la Résistance nationale à Champigny-sur Marne
88 avenue Marx Dormoy jusqu’au 31 octobre 2008.
Le Musée de la résistance nationale présente à partir du 8 avril une exposition Jeunes en résistance. Elle propose sur deux niveaux un panorama des actions de la jeunesse en résistance : ses spécificités comme son implication dans toutes les formes de la Résistance.
Dans la Résistance, ce combat pour la liberté mené par des volontaires, hommes et femmes, les jeunes ont en effet, tenu une place de premier plan.
http://www.musee-resistance.com/
« Germaine Tillion »Musée de l’Homme .
Musée de l’Homme – Palais de Chaillot -17 place du Trocadéro -75016 Paris
Lundi, mercredi, jeudi et vendredi de 10 h à 17 h, samedi et dimanche de 10 h à 18 h. Fermé le mardi et les jours fériés.
Du 30 mai au 8 septembre 2008 .
Plein tarif : 7 euros / tarif réduit : 5 euros
Sur le site du Musée de l’Homme , accès au dossier de presse: www.mnhn.fr
Germaine Tillion est décédée le samedi 19 avril 2008. Elle aurait eu 101 ans le 30 mai. Le Musée de l’Homme rend hommage à cette femme d’exception qui a consacré sa vie à défendre la vérité et la justice. L’exposition présente l’itinéraire et l’engagement de cette ethnologue et résistante qui n’a cessé d’étudier et d’analyser le monde qui l’entourait et de combattre l’enfermement, l’esclavage, la pauvreté, la torture, la peine de mort…
Le parcours de l’exposition retrace la vie de Germaine Tillion, ses combats et l’apport de son travail à l’ethnologie française. Des premières missions ethnographiques en Algérie dans les années trente, à l’étude de la condition des femmes dans le monde méditerranéen, l’exposition retrace également le rôle de Germaine Tillion au sein des premiers réseaux de Résistance, sa déportation à Ravensbrück, ses travaux sur les systèmes concentrationnaires, ou encore son retour en Algérie pendant la guerre d’indépendance.
Et toujours les collections permanentes des musées:
Musée de l’armée: salles consacrées à la Seconde Guerre mondiale.
Musée de l’Ordre de la Libération .
http://www.ordredelaliberation.fr
Mémorial Leclerc et de la Libération de Paris Musée Jean Moulin.
http://www.paris-france.org/MUSEES/Memorial/accuei…
En Région:
« Tombés du ciel. Les aviateurs abattus au-dessus du Nord-Pas-de-Calais (1940-1944) «
La Coupole Centre d’Histoire et de Mémoire du Nord-Pas-de-Calais .
Réalisée en partenariat entre La Coupole et l’association Antiq’Air Flandre-Artois , l’exposition présente des objets , des photographies clandestines et des documents d’archives qui évoquent une guerre industrielle à grande échelle terriblement meurtrière , dans laquelle l’Homme ( le pilote , les équipiers) joue encore malgré tout un rôle central .L’exposition permet de retracer des trajectoires humaines à travers dix histoires vraies , reconstituées à partir d’enquêtes dans les archives , auprès des familles des protagonistes , ou sur le site des crashes .
« Les cheminots dans la Résistance »
Centre Régional »Résistance & Liberté »
Les anciennes Ecuries du château Rond-point du 19 mars 1962 79100 THOUARS
Contact:
05.49.66.42.99; info@crrl.com.fr
Site:
http://www.crrl.com.fr/actualite/actua.htm
« La Guerre d’Espagne . »
Centre d’Oradour
A partir du 27 juin 2008 et jusqu’au 15 mai 2009
« Propagande contre propagande, 1939-1945 ».
Musée d’histoire de la Résistance et de la Déportation de l’Ain et du Haut-Jura .
3 montée de l’abbaye – 01130 NANTUA
tél. 04 74 75 07 50
Ouvert du 1er mai au 30 septembre 2008 , tlj 10h – 13h / 14h – 18h.
Fermé le lundi.
Pendant toute la Seconde Guerre mondiale, le contrôle de l’opinion se révèle un enjeu stratégique majeur, notamment en France. Affiches, tracts, messages radio, actualités cinématographiques… les supports des propagandes allemande, vichyste, résistante ou alliée envahissent villes et campagnes.
Un ouvrage édité par les Musées des pays de l’Ain ,en lien avec l’exposition est disponible. En vente à la Conservation départementale-Musées des pays de l’Ain, à la boutique des musées et dans les librairies partenaires des Musées des pays de l’Ain.
« Femmes et Résistance , anonymes et héroines ».
Musée de la Résistance en Morvan Association pour la Recherche sur l’Occupation et la Résistance en Morvan .
Maison du Parc 58 230 Saint-Brisson
Contact : 03 86 78 72 99 / museeresistance.morvan@orange.fr
Avril, Octobre, Novembre : 10-13h / 14-17h
Mai à Septembre : 10-13h / 14-18h
Fermeture le mardi sauf en juillet et août.
22 panneaux retracent l’histoire des femmes dans la Résistance. Le début de l’exposition rappelle l’occultation pendant longtemps de leur rôle ainsi que la situation des femmes durant ces années sombres où la politique de Vichy s’attache à célébrer la femme comme « mère ». L’exposition se poursuit autour de la présentation des multiples actions menées par les résistantes. Ensuite, aux côtés des héroïnes de la Résistance telles Lucie Aubrac ou Germaine Tillion, se mêlent des portraits de figures plus anonymes mais dont le rôle au niveau local fut essentiel dans la Libération du Morvan, comme Janette Colas ou Louise Aubin.
Jusqu’au 9 novembre 2008 .
« Les Résistants de la Viscose »
Musée de la Résistance et de la Déportation de l’Isère -Maison des droits de l’homme .
14, rue Hébert 38000 Grenoble.
Tél : 04 76 42 38 53
Fax : 04 76 42 55 89
Mél : infos@resistance-en-isere.fr
ouvert tous les jours, sauf le mardi matin,
du 1er septembre au 30 juin : de 9h à 18h
(samedi et dimanche de 10h à 18h, mardi de 13h30 à 18h)
juillet – août : de 10h à 19h (mardi de 13h30 à 19h)
http://www.resistance-en-isere.com
A travers l’évocation de ces figures et de l’histoire sociale de l’usine, l’exposition du Musée de la Résistance et de la Déportation, Les Résistants de la Viscose, tente de répondre à quelques questions : qui devient résistant dans cette grande entreprise industrielle de l’agglomération grenobloise, comment et avec quels effets, à l’échelle de la Résistance en Isère
Jusqu’au 15 septembre 2008 .
